Les corbeaux croassent, criards aux croisées,
Aux costards cafardeux, ils croquent les crapules,
Courant, et criant des remarques fort crasseuses,
Avec leurs becs tels des crocs écrasants.
Et un car couvert circule au crépuscule,
Conquit le calme des choucas circonspects,
Jusqu'au chrome clair des roues dans l'obscur décors;
Même quand ricochée des crevasses, j'accours.
Les corneilles corpulentes scrutent sans scrupules,
La cavité qu'on creusa dans la crypte,
De coups et corps pour un cadavre sans couleur;
Le corbillard raccompagne mon cercueil.
Aux costards cafardeux, ils croquent les crapules,
Courant, et criant des remarques fort crasseuses,
Avec leurs becs tels des crocs écrasants.
Et un car couvert circule au crépuscule,
Conquit le calme des choucas circonspects,
Jusqu'au chrome clair des roues dans l'obscur décors;
Même quand ricochée des crevasses, j'accours.
Les corneilles corpulentes scrutent sans scrupules,
La cavité qu'on creusa dans la crypte,
De coups et corps pour un cadavre sans couleur;
Le corbillard raccompagne mon cercueil.